2018-UNAT-885, Rehman
Unat a jugé que UNDT avait accordé à tort les dommages moraux de l'appelant parce qu'elle n'avait produit aucune preuve corroborante à l'appui de l'affirmation selon laquelle un préjudice s'était produit. Cependant, UNAT a jugé que la sentence en dommages-intérêts moraux se présenterait, car le secrétaire général n'avait pas fait appel du jugement de l'UND. Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune preuve corroborante pour soutenir la réclamation de l'appelant en dommages-intérêts pour «restaurer ses souffrances professionnelles, physiques et émotionnelles» et pour «les irrégularités et l...